6 janvier 2008
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16:45
Derrière wikipedia, gratuite, la société de Wales à but lucratif, wikia, espère concurrencer Google en lançant un nouveau moteur de recherche.
Nous avons déjà expliqué le montage fait par Wales, en partant de wikipedia, participative, libre et gratuite : un grand jeu en ligne qui se prétend "encyclopédie" qui a pour statut juridique néant, et est supportée par une association caritative qui refuse d'être éditeur et est totalement irresponsable de ce qu'il se passe à wikipedia. Ainsi mise hors-droit -hors du droit qui égit l'édition- elle prétend participer au bien de l'humanité.
Et puis, derrière wikipedia, gratuite, -c'est à dire qui fait travailler gratuitement une bande de gogos qui sont incités à aller piller le travail des autres et le recopier sans respect des auteurs ni des droits d'auteur-, Wales a créé wikia, sa société à but lucratif, qui marche fort bien en bénéficiant des retombées de la popularité planétaire de wikipedia, où des idiots travaillent à constituer la popularité et la fortune de Wales, en croyant qu'ils rédigent une encyclopédie .
Et wikia prospère et engrange les bénéfices.
Cet article précédent du blog l'explique : Derrière wikipedia, wikia, une société très lucrative.
Pour compléter voir également cet article qui explique comment Wales entend tirer profit de la gratuité de wikipedia.
Et puis encore cet article du blog : derrière wikipedia, wikia : les visées de Wales sur Google annonçait le 13 mars 2007 les visées de Wales pour concurrencer Google, en montant son propre moteur de recherche.
photo l'Internaute
Nous avons déjà expliqué le montage fait par Wales, en partant de wikipedia, participative, libre et gratuite : un grand jeu en ligne qui se prétend "encyclopédie" qui a pour statut juridique néant, et est supportée par une association caritative qui refuse d'être éditeur et est totalement irresponsable de ce qu'il se passe à wikipedia. Ainsi mise hors-droit -hors du droit qui égit l'édition- elle prétend participer au bien de l'humanité.
Et puis, derrière wikipedia, gratuite, -c'est à dire qui fait travailler gratuitement une bande de gogos qui sont incités à aller piller le travail des autres et le recopier sans respect des auteurs ni des droits d'auteur-, Wales a créé wikia, sa société à but lucratif, qui marche fort bien en bénéficiant des retombées de la popularité planétaire de wikipedia, où des idiots travaillent à constituer la popularité et la fortune de Wales, en croyant qu'ils rédigent une encyclopédie .
Et wikia prospère et engrange les bénéfices.
Cet article précédent du blog l'explique : Derrière wikipedia, wikia, une société très lucrative.
Pour compléter voir également cet article qui explique comment Wales entend tirer profit de la gratuité de wikipedia.
Et puis encore cet article du blog : derrière wikipedia, wikia : les visées de Wales sur Google annonçait le 13 mars 2007 les visées de Wales pour concurrencer Google, en montant son propre moteur de recherche.
Le nouveau moteur de recherche , wikia, pour concurrencer Google.
Celui-ci va sortir demain : nommé wikia, comme la société à but lucratif de Wales qui est une sous-wikipedia où chacun peut écrire n'importe quoi sous anonymat, sauf qu'il n'est pas surveillé et censuré par un comité d'administrateurs. Sous anonymat il s'y écrit vraiment n'importe quoi et les articles les plus crapuleux et les plus fous s'y trouvent, car au lieu de créer des blogs dont le webmaster est responsable, Wales avec wikia donne à tous la possibilité d'écrire n'importe quoi dans l'iresponsabilité la plus totale. Projet ultra-libéral, ou ultra-anarchiste, comme on veut, qui permet à chacun de se laisser aller à ses pulsions et de se répandre en toute "liberté". Et qui permet aussi et surtout à toute la crasse du monde de se répandre et qui rapporte beaucoup à ses fondateurs Wales et Angela Besley.
Le moteur de recherche wikia qui ouvre demain, ne fonctionnera plus selon des classements effectués par des robots, mais selon des interventions humaines, sur le modèle de wikipedia : est-ce un progès ? A observer.
Mais ainsi Wales s'est mis en concurrence avec Google qui le lui rendra bien, en créant son encyclopédie "Knol", rédigée par de vrais auteurs, déclinant leurs noms e qualités, ce qui risque de faire très mal à wikipedia.
Et puis, des classements effectués par des wikipediens : comment peut-on imaginer leur validité quand on voit l'aberration des classements sur wikipedia elle-même, qui sont absolument n'importe quoi, car ils sont le fait d'autodidactes incompétents, d'esprits partisans, qui donnent lieu à des bagarres homériques et invraisemblables (car personne, d'aucun côté ne connaît la seule réponse juste étant donné qu'ils ne reconnaissent pas les classifications établies par les différentes branches du savoir), et qu'ils obéissent au principe de "neutralité" selon lequel tout se vaut, le vrai le faux, l'opinion et le savoir, et toutes les opinions.
Pour ces raisons, un certain scepticisme est de mise quant aux capacités des wikipediens et leurs alter ego wikiens, à dépasser les classements de Google, même si ces derniers sont forts simplistes et insatisfaisants, puisque établis par des robots.
Mais personnellement, je ne crois pas à la supériorité des wikipediens, pas plus qu'aux miracles annoncés de l'écriture collective, du savoir bricolé, des collages de bribes de connaissances sans unité, des articles sans auteur et sans relecture, de l'addition d'incompétences pour produire de la compétence, de l'addition d'inculture pour produire de la culture.
Je ne crois pas plus à la disparition de l'auteur, qu'à l'inutilité de la pensée. Non plus qu'à la disparition de la créativité et de la liberté de créer et de penser. Et je n'adhère pas à tous ces mythes d'une supposée intelligence collective ou encore d'une soi-disant sagesse des foules qu'on nous annonce toujours pour demain, lorsque nous aurons les outils adéquats qui ne sauraient tarder à venir. Toutes choses qui relèvent d'une croyance naïve et erronnée dans les pouvoirs de la technique, ainsi mise en place de nouveau dieu, en vue de faire l'économie de l'intelligence humaine, de la culture et de leur apprentissage. Mythes qui laissent croire que l'on pourrait attendre des miracles de la seule technique, supposer dispenser les hommes d'apprendre, d'étudier et de penser, pour être ensuite capables d'enseigner et de rédiger une encyclopédie.
Ce ne sont là que des mythes scientistes et positivistes, qui tendent à faire croire que de merveilleuses techniques nouvelles pourraient suppléer à l'incompétence et à l'absence de culture.
Alithia